Événements

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SOLSTICE D’HIVER 2022 – STERENN AN NORZH

Photo : Marion Picart

Des centaines de pièces de bois parfois peintes, d’autres noircies de coaltar, des morceaux d’étraves, de bordés, de varangues, morceaux de chêne hérissés de clous rouillés … Ce ne sont pas des bois « flottés » mais bien des bois « coulés », des bois « d’épaves », pièces de bois qui furent habilement coupées, rabotées, ajustées il y a fort longtemps par des mains savantes avant d’être usées, cassées et jetées à la grève.

L’œuvre est visible depuis le 21 décembre, square du 18 juin à Carantec. Depuis un banc d’observation, deux œilletons situés au centre de l’œuvre permettent de viser l’étoile Polaire « Sterenn an Norzh ». De nuit, l’œuvre rend hommage à l’audace et aux compétences en astronomie des grands navigateurs.

Solstice d’été 2022 : histoires de feux

Incendie au Menez-Hom 

Palindrome :

IN GIRUM IMUS NOCTE ECCE ET CONSUMIMUR IGNI 

 « Nous tournoyons dans la nuit, et nous voilà consumés par le feu »

Photos : Serge Bacheré

Solstice d’été 2021

Photo : Serge Bacheré

21 juin 2021 – Installation, avec quelques amis, de lettres en métal dans les algues vertes de la Grande Grève à Carantec.

Algues vertes … 30 ans d’histoires de dégradations des estuaires et du littoral. Les conséquences sont catastrophiques. 

http://petitions.eau-et-rivieres.org/

Solstice d’été 2020

Installation éphémère dans les Monts d’Arrée (Finistère) pour Léa Chanteau.

Un Graal de 170 fourches assemblées et entrelacées, une composition d’éléments agressifs, pointus et dangereux pour réaliser une oeuvre transparente, voluptueuse et généreuse, un calice de métal pour recueillir les derniers rayons du soleil.
Ont participé à l’installation : Martine, Caroline, Nathalie, Camille, Catherine, Pilou, Serge, Georges, Ludo, Christophe et Philippe.

Photos : Pierre Chanteau, Serge Bacheré et Georges Grosz

Solstice d’été 2018

Avril 2018 – Île Callot à Carantec

Le chantier de renaturation de l’îlot « l’Hôpital » s’achève avec le retrait des gravats d’anciens bâtiments ostréicoles. En contrebas, sur la vasière, reposent les derniers vestiges des activités de réparations navales qui donnèrent, dit-on, le nom au lieu ( l’Hôpital ) : des centaines de pièces de bois parfois peintes, d’autres noircies de coaltar, des morceaux d’étraves, de bordés, de varangues, morceaux de chêne hérissés de clous rouillés … Ce ne sont pas des bois « flottés » mais bien des bois « coulés », des bois « d’épaves », pièces de bois qui furent habilement coupées, rabotées, ajustées il y a fort longtemps par des mains savantes avant d’être usées, cassées et jetées à la grève.

 

Jeudi 21 juin 2018 – solstice d’été

Ce jour là, une partie de ces débris marins, de ces poussières d’histoire, seront remis en situation devant l’îlot  » L’Hôpital  » après avoir séjourné plusieurs semaines dans mon atelier pour une mise en perspective singulière : 3 sculptures sur la dune, le temps d’une journée particulière.

2016, année de la construction

Une construction à la fois solide et éphémère, soumise à la loi implacable des éléments avant que ne soit enfin mis en ligne le site internet qui présentera mes créations. Arche de pierre construite avec Luca Chanteau. Photos : Jean-Marc Nayet